My baby

C’est beau, c’est frais , c transparent. Un enfant est le plus grand cadeau !

Calmer les pleurs du bébé

Il ne faut pas se focaliser en permanence sur les pleurs de son bébé et ne pas s’inquiéter inutilement. Le bébé risque de le sentir : les angoisses de ses parents, notamment celles de sa mère, l’inquièteront et aggraveront ses pleurs.
Il est indispensable de rassurer le bébé et de le soulager.

Des petits gestes de bon sens, connus depuis des générations, suffisent en général à calmer ses pleurs.

Le prendre dans ses bras et le bercer doucement sans le heurter ou le secouer trop violemment.
Lui faire un câlin et le rassurer
Le porter
Etre patient
Le balancer dans son berceau ou dans les bras
Jouer avec lui
L’emmener se promener
S’approcher de lui, lui parler doucement
Lui chanter une chanson
Lui faire écouter de la musique
Lui donner un bain, même en dehors de l’heure prévue
Le masser
Lui faire des mouvements
Se détendre afin de le rassurer
Lui donner le sein ou le biberon si les pleurs sont en rapport avec le besoin de manger et rapprocher deux biberons ou deux tétées sans attendre l’heure habituelle prévue.
Vérifier que la température de la pièce ne dépasse les 20 degrés
Vérifier qu’il n’est pas sale, que ses fesses ne sont pas irritées et qu’il n’a pas besoin d’être changé
Masser son ventre s’il souffre de coliques
Vérifier qu’il n’ait pas de fièvre

Ne pas craquer pas si le bébé pleure sans arrêt, et ne le secouer pas pour le calmer afin d’éviter de provoquer Le Syndrome de l’enfant secoué .
Les médicaments destinés à calmer les douleurs ou à apaiser le bébé qui pleure ne sont pas indiqués.

Faire aimer l’eau à votre bébé

Les repas d’un bébé doivent être préparés avec minutie et contenir tous les bons nutriments nécessaires à sa croissance.

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Les problèmes alimentaires chez les bébés et les jeunes enfants

La prévalence des problèmes alimentaires chez des bébés qui sont d’autre part en bonne santé est de plus de 25% (Lindberg et al., 1991) ; elle peut atteindre jusqu’à 35% chez les nourrissons avec un handicap neurologique (Palmer et Horn, 1978). Dahl et Sundelin (1986) rapportent que 1 à 2% des bébés de moins de douze mois ont des problèmes alimentaires suffisamment sévères pour entraîner un gain de poids insuffisant et un retard staturo-pondéral. Selon le DSM-IV, 50% des bébés hospitalisés pour retard de croissance sans cause médicale identifiable souffrent de problèmes du comportement alimentaire. Les opinions des professionnels varient quant à la cause du problème chez ces bébés par ailleurs en bonne santé.

2 Pour certains, (Polan et al., 1991 ; Satter, 1986 ; Ward et al., 1993), les troubles alimentaires sont engendrés par un maternage manquant de sensibilité et par un manque d’interactions au moment du repas. D’autres (Reilly et al., 1999 ; Ramsay et al., 1993) soulignent des difficultés d’ordre physiologique ayant trait au processus alimentaire (appétit et ingestion), et qui peuvent influencer le rapport à la nourriture.

Nous traitons dans le présent article des problèmes alimentaires chez des enfants par ailleurs en bonne santé, pour lesquels le processus alimentaire se trouve affecté par des variations physiologiques ou des défauts de l’appétit et/ou du processus d’ ingestion, ces difficultés n’étant pas liées à des troubles médicaux ou à des médicaments.

3 Comme c’est le cas pour d’autres aptitudes sensori-motrices, le comportement alimentaire comprend une dimension développementale. Il s’agit d’un processus sensori-moteur extrêmement complexe qui évolue avec le temps et qui est lié à la qualité de l’appétit chez l’enfant. Toutefois, en raison du caractère de survie qui y est rattaché, le comportement alimentaire, à l’inverse d’autres comportements, est très chargé affectivement dès le début de la vie du nouveau-né. Quand le comportement alimentaire est adéquat, le moment du repas devient une activité sociale plaisante correspondant à une prise d’aliments suffisante, une nutrition saine et une croissance adéquate. En revanche, si le processus est troublé, les repas sont entrecoupés de tentatives de la mère d’augmenter la prise de nourriture, en multipliant la fréquence ou la longueur des repas. Les repas deviennent entrecoupés de distractions, que nous avons appelées « stratégies d’alimentation compensatoires » (Ramsay et Gisel,1996). Si les problèmes persistent, ces stratégies compensatoires installées précocement peuvent ne plus être efficaces, ni appropriées à l’âge de l’enfant, et ceci qui rend le temps des repas éprouvant pour la dyade.

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L’éducation des enfants en bas âge

Extrait du livre :Image

L’éducation des enfants en bas âge

Par l’Imâm Ibn Qudâma al-Maqdisi

Sache que l’enfant est un dépôt pour ses parents.

Son cœur est une pierre précieuse encore brute qui accepte toute imprégnation.

Si on l’accoutume au bien, il grandira dans son respect, et ses parents ainsi que son maître d’école se partageront la récompense de l’avoir élevé dans cette voie, et si on l’accoutume au mal il grandira avec cette tare et celui qui à sa charge en subira les conséquences.

Voilà pourquoi il convient de le préserver, de l’éduquer, de l’améliorer, de lui apprendre le bon caractère, de lui éviter la fréquentation de la mauvaise compagnie.

Il faut également l’habituer à l’aisance et à la vie dans le raffinement, pour lui éviter de perdre sa vie à les rechercher, une fois devenu adulte.

Voilà pourquoi on doit le surveiller dès son plus jeune âge. Ainsi le père ne doit engager pour son allaitement et sa maternité qu’une femme pieuse qui consomme le licite car le lait provenant d’une alimentation illicite ne comporte aucune bénédiction.

Lorsqu’apparaissent chez lui les signes de la distinction dont en premier lieu la pudeur, ce qui constitue une marque d’intelligence et un signe annonciateur de la perfection de l’esprit à l’entré dans l’âge adulte, on doit s’aider de sa propre pudeur pour son éducation.

La première qualité qui prédomine chez lui, c’est le désire immodéré de la nourriture. Il convient donc que ses parents lui apprennent les règles en matière d’alimentation, l’habituent à manger le pain seul à certains moments pour ne pas s’accoutumer aux condiments et afin qu’il ne les considère pas comme quelque chose dont on ne peut se passer.

 

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